Popcopy
Compositeur |
McAllister Scott |
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Difficulté |
5 = difficile |
Formation |
Wind Band (harmonie) |
Type musique |
Original compositions |
Popcopy
Popcopy est une œuvre en trois mouvements qui s’inspire de célèbres slogans. Le titre de l’œuvre en lui-même est également une phrase d’un sketch de Dave Chappelle qui traite d’un centre de copie local, auquel chaque compositeur peut s’identifier. Le premier mouvement, « More Cowbell ! », est basé sur le populaire sketch « Saturday Night Live » dans lequel Will Ferrell joue une cloche de vache fictive pour le groupe Blue Öyster Cult. Le personnage de Ferrell, Gene Frenkle, dit avec ferveur au groupe que puisqu’il n’y a pas de chansons qui mettent en scène la cloche de vache, il se rendrait un mauvais service à lui-même et au groupe s’il ne « jouait pas cette cloche de vache ». Le producteur invente alors la célèbre phrase : « Devinez quoi ! J’ai de la fièvre, et la seule prescription est… plus de cloche de vache ! » Dans ce mouvement, quatre parties de cloche à vache entourent le groupe pour imiter la lutte d’équilibre entre le groupe et les cloches à vache, mais les cloches à vache aident également à maintenir le groupe uni pendant les sections rythmiques complexes.
Le deuxième mouvement, « One Time at Band Camp », est une phrase d’accroche du film American Pie. Le personnage de Michelle Flaherty est une intello excentrique qui raconte de nombreuses histoires ennuyeuses sur ses expériences au camp musical. Le personnage du film joue de la flûte, donc un soliste à la flûte est mis en vedette. Ce mouvement dépeint des réminiscences de l’amour d’été trouvé et perdu.
« Serenity Now » est inspiré d’un épisode de la dernière saison de « Seinfeld ». Il est conseillé au père de George, Frank Costanza, de dire « Serenity Now » à voix haute chaque fois que sa tension artérielle est en danger. Au lieu de dire calmement cette phrase, Frank la crie à chaque fois. Le personnage de Kramer utilise également cette phrase d’accroche, mais lorsqu’il a finalement une crise mentale, il découvre que dire cette phrase ne fait qu’empirer les choses. Comme l’épisode lui-même, la musique traite de la frontière entre la raison et la folie, avec au moins quatre autres histoires qui se déroulent en même temps. De nombreuses citations de groupes sont éparpillées dans la musique (hommages voilés à Holst, Hindemith et Sousa), des sections aleatoriques et non mesurées, et une forme schizophrénique à ce mouvement final.