Il était une fois en Amérique du Nord, une mère qui vivait avec sa jeune fille chez la tribu des Indiens Ojibwé. La fille avait des cauchemars fréquents. La mère demandait de l’aide à Asibikaashi, la femme-araignée, qui s’occupait des gens et des enfants du pays. Asibikaashi tissa une toile pour protéger la fille de ses mauvais rêves ; une branche de la prairie prenant la forme d’un cerceau, et une toile tissée de cordon qui avait séché dans des herbes sacrées, et avec un trou au milieu qui laisserait passer les beaux rêves. Le attrape-rêves, adorné de plumes sacrées, ne laisserait passer que de bons rêves tandis que les mauvais rêves resteraient coincés dans la toile. Alors que l’on se réveille tôt le matin, les premiers rayons de soleil touchent le capteur de rêves et brûlent les mauvais rêves qui sont alors rendus invisibles. Cette œuvre contient des images de rêves typiques, telles que le rêve de voler, la rencontre transcendantale avec une personne décédée, et la fuite sur des jambes qui refusent de courir. Tout finit bien puisque les rayons de soleil brûlent le mal et nous ne nous rappelons de rien.
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DREAMCATCHER
CHF114.00
Difficulté |
2.5 |
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Compositeur |
Otto M. Schwarz |
Formation |
Brass Band |
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